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L’art du moucharabieh

Les civilisations passent, et c’est à l’aune de leurs apports à l’humanité tout entière et de la fascination qu’elles exercent sur nos contemporains que nous apprécions leur rayonnement.

Ce n’est pas dans le désert d’Arabie que la civilisation musulmane est devenue grande, ni d’ailleurs dans le bassin de l’Euphrate ou encore sur les rives de la Méditerranée. Cette civilisation n’a pas atteint son degré de sophistication sur un lieu en particulier. La civilisation islamique est devenue grande le jour où elle a intégré le fait qu’elle serait plus grande encore en s’ouvrant aux courants de pensée qui parcourent le monde plutôt qu’en se renfermant sur ses conquêtes militaires.

La philosophie grecque nous est parvenue grâce aux arabes qui traduisirent les grands textes alors que des clergés obscurantistes décidèrent finalement de les brûler… ironie de l’histoire ! Ainsi, c’est sur les rives de l’Indus que les savants musulmans découvrirent le zéro et vulgarisèrent le système décimal.

Il en va de même dans de nombreux domaines comme l’irrigation, les sciences, la navigation et dans ce qui nous intéressera dans cet article : l’architecture.

Pour véhiculer les savoirs d’un bout de l’empire à l’autre, pour qu’une idée circule de Cordoue à Bombay en passant par Le Caire et Damas, il faut deux conditions : des routes sécurisées avec un système de caravansérails pour les longs trajets et un véhicule culturel commun, la langue arabe.

De nombreux historiens s’accordent à dire que la civilisation musulmane est la première civilisation de synthèse, ayant suivi un développement des savoirs identique à celui de la civilisation nord-américaine.

Les influences architecturales arabes sont multiples. Les systèmes d’arches brisées, les dômes et les frontons empruntent au vocabulaire antique et byzantin. Les motifs floraux et les rythmes géométriques tirent leurs influences des grammaires esthétiques iraniennes et indiennes pré-islamiques.

Dans la tradition religieuse musulmane, de nombreux espaces sont délimités de manière symbolique. Un simple tapis au sol représente un espace sacré au milieu d’un espace profane. Ces typologies d’espaces peuvent aussi être délimitées de manière plus formelle par des murs et des zones de passages entre les différents espaces.

Le moucharabieh

C’est un des premiers éléments d’architecture que l’on remarque quand on déambule dans une ville orientale. Le Moucharabieh est un système de fenêtre à jalousies dont la pièce maîtresse est un treillage d’ébénisterie travaillé en motifs extrêmement fins, permettant aux maisons de capter l’air et la lumière venant de l’extérieur. Historiquement, les femmes étaient confinées dans les maisons. Ce dispositif leur permettait de voir l’animation et le spectacle de la rue sans pour autant être vues.

C’est en Égypte et en Andalousie que les architectes développeront l’utilisation de ces dispositifs en les adaptant aux parties hautes des bâtisses. Ils insérèrent des vitraux entre les maillages des différentes sections de bois pour colorer et tamiser les rayons du soleil. Le mot moucharabieh sert aujourd’hui toujours à déterminer ces dispositifs d’ouvertures ainsi que tout travail d’ébénisterie utilisant ces techniques d’assemblages de balustres, de bobines et de baguettes de bois retenues par des chevilles.

Bodenmann à Djeddah

C’est avec un grand intérêt et avec un certain plaisir que Bodenmann réalise à Djeddah, à l’occasion de la conception d’une boutique, un motif de Moucharabieh de 2’700 mm par 2’500 mm. Cette pièce composée de quatre panneaux a été taillée dans quatre planches de noyer américain. Les différentes pièces qui composent cet ouvrage sont assemblées entre elles. Afin de travailler les effets chromatiques, des pièces de verre coloré sans jointure apparente ont été fixées au centre de la composition formée d’octogones.

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Time Æon Foundation

Il arrive des moments dans toute carrière et particulièrement dans l’industrie de l’horlogerie, où l’occasion nous est donnée de faire un pas de côté afin d’évaluer ce que nous transmettons : quel patrimoine immatériel léguons-nous aux générations futures ?

Les crises graves et micro-secousses qui agitent l’horlogerie ont fait prendre conscience à de nombreux acteurs que les savoir-faire et procédés pourtant quotidiens, ne sont pas immuables. Si l’on n’y prend garde, ils peuvent disparaître, comme ce fut le cas dans de nombreuses autres industries.

La vocation de cette nouvelle fondation est de sensibiliser les acteurs du marché et le grand public aux savoir-faire horlogers traditionnels d’excellence qui font l’histoire industrielle de certaines régions et sont constitutifs des savoirs universels.

Cette fondation a aussi pour mission d’inventorier les techniques et procédés en perdition et de maintenir la transmission des bons gestes. Il faut aussi pérenniser l’excellence horlogère dans les nombreux métiers qui font le rayonnement du secteur. Il convient également de comptabiliser et sauver les pièces constitutives du patrimoine horloger mondial qui se sont échangées sur les 5 continents. Susciter des vocations, ouvrir des filières d’excellence est au coeur des missions de la fondation. Tout comme le soutien à l’installation de jeunes horlogers indépendants qui participent à la promotion de ces métiers d’excellence.

Des Hommes

Pour que cette fondation vive et s’épanouisse, il lui fallait des membres actifs et représentatifs de la haute-horlogerie indépendante universelle. Aucun horloger n’aurait pu rêver mieux en termes de casting.

Au côté du patriarche combier Philippe Dufour, véritable Dieu vivant de l’horlogerie célébré jusque dans des mangas japonais, on trouve le Schaffhousois Felix Baumgartner, la tête pensante d’Urwerk, marque genevoise qui décline pièce après pièce une horlogerie inventive et futuriste. Vianney Halter membre et cofondateur apporte son univers créatif et mécanique en proposant une lecture de l’horlogerie très personnelle à la manière d’un Miyazaki.

C’est Stephen Forsey issu de l’école britannique qui sera représentant du Triumvirat de la marque Greubel & Forsey. Suivi naturellement par son camarade de jeu l’alsacien Robert Greubel rejoint depuis quelques années, par l’excellent David Bernard, qui incarne l’école belge dans ce cénacle.

Des Projets

La naissance d’une montre

Pour incarner des valeurs, il faut des projets fondateurs. Le projet La Naissance d’une montre, dont nous vous parlions lors de notre dernière édition fut un grand succès tant en termes de résultats, qu’en termes d’intérêt dans les milieux des « connoisseurs » et au-delà.

En 2007, Robert Greubel, Stephen Forsey et Philippe Dufour constatent qu’en raison de l’industrialisation et du recours systématique aux machines à commandes numériques, les gestes et les savoir-faire ancestraux de l’horlogerie traditionnelle s’effacent à mesure que les générations se succèdent derrière l’établi (qui est en général signé Bodenmann).

Depuis janvier 2012, c’est le célèbre professeur Michel Boulanger, professeur d’horlogerie au Lycée Diderot à Paris qui descend chaque mois apprendre au côté des 3 maîtres horlogers les bases de cette horlogerie mythique dans les montagnes du Jura Suisse. Retrouver les techniques et mouvements des grands horlogers du XIXe, tel Jacques-Frédéric Houriet ou Abraham-Louis Breguet, et les transmettre aux jeunes générations, telle est la mission que se sont attribué cette bande d’horlogers passionnés.

La naissance d’une montre a donné lieu à la fabrication d’une pièce vendue aux enchères 1’461’507 USD. Cette manne bienvenue permettra de financer une partie des projets pédagogiques de la Fondation Time Æon.

Atelier décoration

Toujours dans le souci de transmettre les valeurs et les savoir-faire de la belle horlogerie, des ateliers dirigés par Michel Boulanger et Philippe Dufour seront organisés pour permettre à de jeunes étudiants d’acquérir certaines techniques anciennes comme le polissage des flancs, l’anglage, le polissage à l’archet de la moulure du chambrage de la vis, le chassage de la pierre, les traits brouillés dessous, le chassage des goupilles, ou encore la décoration de pièces acier.

Oscillon

La Fondation Time Æon soutient l’incroyable projet Oscillon initié par Dominique Buser et Cyrano Devanthey. Ces deux férus de belles horlogeries ont eu l’idée un peu folle de fabriquer une montre traditionnelle, mais cette fois avec des machines et outillages traditionnels et non numérisés. Ainsi on s’intéressera plus particulièrement aux rendus des différentes opérations telles que le fraisage, le polissage, le tournage des pignons, l’alésage des trous ou le soleillage. La restauration de ces vieilles machines n’a pas fini de nous livrer tous ses secrets. Certaines fonctionnalités et usages mystérieux ont dû être trouvés par tâtonnement et déduction.

Comme pour La Naissance d’une montre, le projet Oscillon se matérialisera par la réalisation d’un garde-temps d’exception. Celui-ci aura la particularité d’utiliser un ressort à force constante qui nécessite le recours à un différentiel. Bien que modélisé sur une CAO, chaque élément constitutif de la pièce sera usiné et finalisé à l’aide du parc de machines anciennes dûment restaurées.

La maison Urwerk, partenaire du projet, suit de près par cette initiative. Comme pour La Naissance d’une montre, Felix Baugmarter et Martin Frei d’Urwerk voient dans ce projet l’occasion de pérenniser les savoir-faire et gestes d’une horlogerie traditionnelle toujours bien vivante.

www.timeaeon.org

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Mission WOSTEP

L’industrie horlogère produit chaque année plus de pièces à complications que d’horlogers aptes à les maintenir en état de marche. Répondre aux besoins de l’industrie suisse en formation horlogère à l’échelle mondiale, est la mission historique du Centre suisse de formation et perfectionnement horloger WOSTEP.

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Le citronnier de Ceylan

Le Chloroxylon Swietenia ou le citronnier de Ceylan est également appelé Satinwood (bois de satin). Sa couleur jaune caractéristique en fait un bois très recherché par les ébénistes pour l’aménagement d’intérieurs, notamment en mobilier, marqueterie, coutellerie et ébénisterie fine.

Ceylan

Quand on évoque Ceylan, on pense inévitablement au thé, véritable trésor national
qui fait rayonner l’île dans le monde entier. L’ancien nom du Sri Lanka est une invitation au voyage, à la découverte ; celle d’une île aux parfums divers et aux couleurs éclatantes. L’Inde, sa grande sœur continentale, n’est qu’à une petite trentaine de kilomètres, séparée par le détroit de Palk.

Un bois authentique

Véritable Mecque pour les amateurs de thé, Ceylan reste aussi pour les ébénistes du monde entier une île unique grâce à son bois dit « le citronnier de Ceylan ». Ce bois jaune demeure le plus universellement apprécié des artisans à partir du XVIIIe siècle parmi tous les bois exotiques. Pendant plusieurs siècles, on boude le citronnier de Ceylan. C’est sous la Restauration qu’il fait son grand retour : il illumine les surfaces sombres en acajou, palissandre ou ébène des meubles signés. Au cours du XXe siècle, ce sont les ébénistes anglais qui lui donnent ses lettres de noblesse.

Une richesse à préserver

Quand on observe son aspect, on est immédiatement saisi par son éclat jaune moiré et rayonné. Ce bois dur avec son fil enchevêtré nous saisit par la finesse de son grain. C’est parce que son séchage est très lent qu’on le scie difficilement. Son usinage est fastidieux du fait de son double contre-fil et des nombreuses déviations de grain. Quand on le coupe, une brillance satinée se dégage de son grain intense, vertical et uni. Les zones d’accroissement clairement distinctes donnent une apparence rubanée irrégulière, très prisée par les professionnels.

Pour conclure, c’est un bois exotique précieux, relativement cher, dont l’exploitation est très réglementée. L’arbre Chloroxylon Swietenia mesure une vingtaine de mètres, on le trouve évidemment au Sri Lanka, mais aussi au centre et au sud de l’Inde. La menuiserie Bodenmann a eu la chance de refaire entièrement la réception et les boiseries d’une grande entreprise milanaise en Citronnier de Ceylan : quelques planches sèchent encore dans nos boxes et sont à la disposition de vos projets.

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Bodenmann innove !

Pour compléter notre gamme de revêtement technique, nous avons rencontré la société HB Plast qui nous a présenté une gamme de produits tout à fait extraordinaires : les protections murales et mains courantes SPM. Comme nous essayons toujours de garder une longueur d’avance, nous sommes heureux de proposer, en exclusivité en Suisse, ces matériaux aux caractéristiques physiques surprenantes.

Des revêtements ultrarésistants

Conscient des enjeux techniques, SPM a développé des revêtements résistant aux chocs et aux rayures qui offrent une stabilité dimensionnelle inégalée. Après avoir réalisé un test consistant à chauffer une surface à 100°C pendant une heure, nous avons constaté un retrait longitudinal de -3.3% contre -15% pour un produit classique. Cette matière a été spécialement créée pour protéger murs, portes, angles et mobilier. Elle est parfaitement adaptée pour les lieux très fréquentés conformément à la législation des établissements recevant du public.

Des revêtements à haut niveau d’hygiène : Quand les hôpitaux universitaires rencontrent Bodenmann

Les produits SPM sont reconnus pour leur absence de porosité, leur homogénéité et leur étanchéité. Ces produits sont recommandés pour les zones à forts risques infectieux. Certifiés niveau 4 sur l’échelle de Pasteur, ils sont fournis avec des joints bactéricides. Cela permet de lutter contre la transmission des germes manuportés qui sont à la base de près de 90% des maladies nosocomiales. Seize blocs opératoires du CHUV à Lausanne ainsi que le Bâtiment des lits et la Maternité des Hôpitaux Universitaires de Genève ont fait l’objet d’une rénovation en SPM, réalisé par une équipe Bodenmann, conduite par les cabinets d’architectes IttenBrechbühl pour Lausanne et Brunet Saunier pour Genève.

Un produit écologique

La gamme SPM est pionnière en termes de respect de l’environnement. La stabilisation thermique a été effectuée à l’aide de calcium-zinc non toxique et sans danger. On mesure sur ce matériau un très faible taux de composés organiques volatils. Aucun solvant classé EC1+ n’a été détecté : il n’y a donc aucun risque pour la santé. L’utilisation de ces produits s’inscrit dans la démarche Haute Qualité Environnementale (HQE). Les revêtements SPM sont 100% recyclables. Lors de la fabrication, les chutes sont intégralement traitées, des containers de récoltes sont disposés pendant les chantiers de pose et ceux de démontage.

Ces revêtements s’intègrent harmonieusement dans tous les locaux grâce à un large choix de couleurs et de motifs. Si vous aussi vous avez besoin de protéger certaines pièces ou certains aménagements, le SPM peut être une excellente option. Les équipes Bodenmann et HB Plast sont à votre disposition pour en parler.

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Peter Steltzner l’ébéniste du ski

C’est dans la vallée de Chamonix, lovée au pied du Mont-Blanc que Peter Steltzner exerce son art, celui d’ébéniste spécialisé dans la réalisation de skis en bois. Dans son atelier, le temps semble s’être figé : les odeurs de bois et du métal fraîchement ciselé embaument l’atmosphère.

Natif de Sausalito en Californie, Peter étudie d’abord la céramique. Et c’est en Europe, à Paris qu’il développe une passion pour le bois et se spécialise en ébénisterie.

Genèse
Rabbit on the roof fête ses onze ans d’existence cette année. Retour sur la genèse d’un projet plutôt original. Tout commence par la visite d’un ami malien qui lui apporte un jour un petit lapin noir. De fil en aiguille c’est toute une colonie qui s’installe dans son atelier. Peter Steltzner leur aménage alors un espace… sur le toit ! Le nom Rabbit on the Roof était né.

Les noyaux de ses skis sont fabriqués avec du Frêne européen dont les qualités de souplesse et d’amorti-neige sont reconnues depuis des siècles. Pour les finitions, les bois peuvent venir de partout. Le plus souvent, Peter rachète de vieux stocks d’ébénistes. Un travail de chineur qui l’emmène aux confins des vallées. Les modèles de ski qui seront tous personnalisés, portent d’ailleurs des noms, comme « Lapin Cosmic », « Gaspard des Drus », « Swallows », « Norwegian Turbo Rockets ». Chacune de ses créations est une ode à la noblesse du bois. Les frisages (marqueterie géométrique) sont réalisés à l’aide de ces petits morceaux de bois précieux, trouvés çà et là.

Loin des enjeux de l’industrie actuelle, Peter affirme que chez les grandes marques “ Tout repose sur une rentabilité de production de masse et sur les techniques d’optimisation de coûts ”. « Chez Rabbit on the Roof, notre réflexion est pérenne, vivante et durable. La recherche hédoniste est omniprésente, et chaque courbe, chaque ligne sont créées dans la sincérité. Ce leitmotiv se ressent dans nos skis : on ne peut pas transiger avec la sincérité, comme on ne peut pas feindre les qualités d’un ski, une fois chaussé ».

Fier et ému de partager son travail avec ceux qui le font vivre, il reçoit à travers les récits de ses clients, la plus authentique des reconnaissances. Tous ont un lien affectif avec leurs skis, partenaire dans les performances et les sensations, et certains skis sont même monogrammés pour sceller ce lien.

Derrière chaque grand homme, il y a une femme. Discrète et solaire, c’est Anati, la colonne vertébrale de Rabbit on the Roof. Née à Oslo, elle a grandi à Florence mais c’est à Montreuil qu’elle rencontre Peter, et que naît Rabbit on the Roof. Elle est impliquée dans le travail des détails d’excellence comme l’assemblage de mosaïque en bois ou la réalisation de peinture sur skis.

Les skis de Rabbit on the Roof sont l’œuvre d’une vision esthète et entière. L’alliance de la tradition et de la performance est au cœur de cette philosophie et d’une forme d’un retour au sacré. Que votre volonté soit Ski !

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Deuxième édition du Boden Mag

Vous revoilà confortablement assis pour lire notre deuxième édition du Boden Mag 2016, celui qui marquera nos 125 ans d’existence. Un numéro qui, je l’espère, vous ravira par l’originalité et la diversité des sujets abordés, tout en mettant un point d’honneur à vous faire découvrir quelques personnalités sorties du vivier extraordinaire de talents que produit notre belle Vallée de Joux.

Parmi les sujets abordés, un choix audacieux de cabinet d’architecture pour La Maison des Fondateurs, nouveau musée d’Audemars Piguet; un whisky « made in Vallée de Joux »; une plongée dans le passé avec la paléobotanique; une essence rare, l’Acajou de Cuba; Romain Gauthier, véritable artiste de la montre, créateur de la Montre Logical One qui a gagné le Prix de la Complication pour Homme au Grand Prix d’Horlogerie de Genève en 2013…

Suivez également notre timeline, le « fil de vie » qui raconte notre histoire, celle des Bodenmann à La Vallée, celle de Mélanie, Jeandaniel, Jaques, Jean et celle de Jacob, arrivé en 1890. Une histoire dont je suis fier de faire partie. 125 ans d’une aventure familiale…

L’entreprise existe grâce à la très haute qualité du savoir-faire des employés tant au niveau des chefs de projets et des techniciens que des poseurs sur les chantiers en passant par tous les stades de fabrication, de finition. C’est en grande partie grâce à ceux-ci que cet anniversaire est possible et il sera dédié à tous ces gens qui ont fait,
font et feront ce qu’est Bodenmann.

C’est aussi grâce à vous que nous sommes toujours là et nous
espérons être toujours à vos côtés dans les 125 prochaines années!

Excellente lecture!

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